Pour ma grand mère
Ton cœur a cessé de battre vendredi 22 novembre, depuis mon cœur ne cesse de te pleurer.
Tu es partie si vite, j'aurai tellement voulu te garder encore un peu à mes côtés.
Je sais que ton souhait a été exhaussé et que désormais tu es en paix mais je ressens une telle sensation de manque.
C'est vrai que j'aurai pu m'en douter, une femme forte comme toi qui n'a jamais demandé d'aide à personne, qui, un jour se rend compte qu'elle ne peux plus rien faire sans l'aide de personne, décide d'abandonner.
Merci pour ton amour et merci d'avoir été toi.
Je t'aime.
TU ES VIVANTE
Tu ne parles plus mais tu es vivante.
Tu ne bouges plus mais tu es vivante.
Tu ne souris plus mais en arrière de tes
yeux tu me regardes.
De très loin ? Peut être de très près, je ne sais rien de ces distances. Je
ne sais plus rien de toi, mais tu sais maintenant davantage
de choses sur moi.
Tu es en Dieu.
Je ne sais pas ce que cela peut vouloir dire
mais sûrement ce que tu voulais et ce que je veux pour toi.
Je le crois. Toute ma foi, je la rassemble. Elle est maintenant mon seul lien
avec toi.
Jésus, donne-moi de croire à ta victoire sur la mort Celle que j'aime veut entrer
dans ta joie. Si elle n'est pas prête, je te prie pour elle. Achève sa préparation.
Pardonne-lui comme tu sais pardonner.
Aide-moi à vivre sans sa voix, sans ses yeux, Que je ne la déçoive pas maintenant
qu'elle va me voir vivre et m'attendre.
André Sève